Comprendre le “Traité Pandémie”. Il y a URGENCE

Déclaration du Docteur Meryl Nass au Parlement Européen “Un coup d’Etat en douceur”

Contenu du dossier

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Traité pandémie et Règlement Sanitaire

Le Règlement Sanitaire International (R.S.I.) et le “Traité des futures pandémies”

Basés sur le narratif de l’échec de la réponse à l’urgence sanitaire et de la nécessité qui en découlerait de développer une politique unique de santé globale, deux instruments juridiques de portée internationale, visent à renforcer le rôle de l’O.M.S. par des accords contraignants qui lui donneraient un pouvoir absolu sur les états souverains.

La tentative d’instaurer un organe de gouvernance supranational par la santé est menée avec la révision du règlement sanitaire international de 2005 (RSI) et la création d’un ‘traité pandémies’ (WHOCA+), et les deux projets avancent à grands pas.

Selon le RSI, le refus d’obtempérer des Etats membres provoque des sanctions variant de la suspension du droit de vote à l’Assemblée mondiale de la santé jusqu’à la suspension du même droit à l’Assemblée générale des Nations unies.

Senta Depuydt

Une première semaine de discussion vient de s’achever autour des 305 amendements proposés dans le cadre de la révision du RSI. Les quatre sessions publiques(doublées en français) et l’ensemble des documents peuvent être consultés sur le site de groupe de travail.

A présent, c’est une semaine de négociations préparatoires au traité de réponse aux pandémies (WHOCA+) qui s’est déroulée fin février autour d’un premier document appelé le zéro draft.

Selon l’agenda décidé début février 2023, les deux initiatives devraient être soumises au vote lors de la 77ème Assemblée générale de la santé, qui doit avoir lieu en mai 2024. Il faut toutefois se méfier des agendas officiels, car l’on n’est pas à l’abri d’un nouveau prétexte (une attaque ‘bioterroriste’ de Poutine par ex?) qui forcerait une adoption en urgence d’un, voire même des deux textes, ou de certains points précis dans un accord provisoire, lors de la 76ème assemblée fin mai 2023. C’est pourquoi il faudra être particulièrement attentif aux prochaines sessions de travail qui se dérouleront du 3 au 6 avril pour le traité, et du 17 au 21 avril pour le R.S.I.

 

 

La révision du Règlement sanitaire international (R.S.I.)

D’un côté, il y a donc le Règlement Sanitaire International, un instrument qui existe depuis 2005, mais dont les dispositions se bornaient à émettre des recommandations aux différents états signataires. Initiée en 2018, la révision du R.S.I. a évidemment connu un coup d’accélérateur avec l’urgence sanitaire, au point d’être soumise à un vote anticipé, lors de la dernière assemblée mondiale de la santé en mai 2022. Mais, malgré un nouveau contexte d’urgence créé par le directeur de l’OMS avec sa déclaration d’alerte sanitaire pour la variole du singe, les modifications proposées changeaient la portée du texte de manière si radicale, que certains pays ont refusé de l’approuver.

Dans les propositions soumises au vote, les Etats Parties y reconnaissaient l’O.M.S. comme l’autorité d’encadrement et de coordination lors d’une urgence sanitaire et s’engageaient à suivre les recommandations de l’O.M.S., en lui donnant la possibilité d’imposer: des quarantaines, des passes sanitaires, la limitation et le contrôle des déplacement ou la vaccination forcée. En outre, le texte prévoyait un renforcement accru du rôle de l’O.M.S. et de son directeur, lui conférant par exemple le droit de décider de l’allocation des ressources aux différents états, de décréter des mesures temporaires ou d’ordonner leur prolongation après la fin de la pandémie, voire même de les prendre sur base d’une alerte ‘potentielle’. De manière assez choquante, l’on prévoyait aussi de supprimer le texte qui consacre la nécessité de respecter la dignité humaine et les libertés fondamentales. (…)

Senta Depuydt, lire l’article complet >> ici

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Macron: "We need a Single Global Order"

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Le financement de l'O.M.S.

L’O.M.S. indique dans son site web qu’elle obtient son financement de “deux sources principales : les contributions fixées des États Membres (les cotisations des pays) et les contributions volontaires d’États Membres et d’autres partenaires. (…) Pour le reste, l’OMS est financée par des contributions volontaires, qui proviennent en grande partie d’États Membres, d’autres organisations des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales, de fondations philanthropiques, du secteur privé et d’autres sources.”

Des fondations philantropiques telles que celle de Bill & Melinda Gates ou l’Alliance GAVI dont le principal pourvoyeur de fond n’est autre celle de Bill Gates encore.

Ensemble, elles sont presque chaque année, les donatrices les plus généreuses du panel, plus que l’Europe ou les Etats-unis.

C’est avec le soutien de ces influents donateurs qu’un personnage comme Tedros a pu être nommé Directeur Général de l’O.M.S. et qu’il pourrait avoir le droit de « mesures sanitaires » sur les habitants de 194 pays

Contributeurs privés et publics de l'O.M.S.
Commentaires de David Bell sur le budget et financement de l'O.M.S.

• “Les contributions volontaires, spécifiques et thématiques, représentent environ 80 % du budget”

• “Vous pouvez constater que le 2ème plus grand bailleur de fonds de l’OMS est désormais privé [Fondation Gates]”

• “Le cinquième, GAVI, est également très largement financé par des intérêts privés, y compris des intérêts pharmaceutiques”

• “Ainsi, pour 80 % de son budget, l’OMS fait ce que ses bailleurs de fonds lui disent de faire, et non ce qu’elle considère nécessairement comme la manière appropriée d’influer sur la santé publique”

19/05/2023 | “Qui finance l’OMS ?”, David Bell  

David Bell, chercheur principal au Brownstone Institute, est un médecin de santé publique basé aux États-Unis. Après avoir travaillé en médecine interne et en santé publique en Australie et au Royaume-Uni, il a travaillé à l’Organisation mondiale de la santé en tant que chef de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Fondation pour les nouveaux diagnostics innovants à Genève, et en tant que directeur des technologies de santé mondiale à l’Intellectual Ventures Global Good Fund à Bellevue, Washington. Il est consultant en biotechnologie et en santé mondiale.

La liste des parties intéressées invitées aux consultations du Règlement Sanitaire International reprend les 220 “acteurs non-étatiques” , sociétés médicales, “philanthropiques” et fonds d’investissement ayant déjà des relations officielles avec l’OMS.

On notera évidemment la présence de la Fondation Bill et Melinda Gates, de l’Alliance GAVI pour la vaccination, ou de la fondation Rockefeller.

Mais elle inclut aussi une série d’ “observateurs” comme le Vatican et l’ordre de Malte, ainsi qu’une série d’acteurs privés comme les fondations de Soros Open Society et Open Philanthropy et même, cerise sur la gâteau, Metabiota. Il s’agit bien du fonds qui est financée par la famille Biden et qui finance des programmes de recherche de gain de fonction des virus avec Eco Health Alliance dans les labos P4 de Wuhan.

Senta Depuydt

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Portrait de l'O.M.S. d'aujourd'hui en trois minutes

Source: Plandemic movie

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Le passé houleux et controversé de Tedros Ghebreyesus,

Les sombres années de Tedros Adhanom Ghebreyesus, actuel secrétaire général de l’Organisation mondiale de la santé (O.M.S.).
Né à Asmara en 1965, Tedros a gravi les échelons jusqu’à devenir le premier Africain à diriger l’O.M.S. Cependant, des faits troublants sont restés dissimulés derrière cette ascension fulgurante.

La deuxième partie met en lumière les crimes brutaux contre les droits de l’homme commis lorsqu’il était au pouvoir en Éthiopie. Des rapports d’Amnesty International et de Human Rights Watch témoignent d’arrestations massives, de tortures, d’exécutions publiques et de violences envers les citoyens. Les rapports suggèrent que Tedros a été impliqué dans ces violences.

La première partie de notre dossier dévoile les liens étroits de Tedros avec le groupe terroriste violent Front de libération du peuple du Tigré (T.P.L.F.), régnant en Éthiopie jusqu’en 2018. En tant que haut dignitaire du T.P.L.F., il a occupé des postes influents malgré les atrocités commises par ce parti. Des accusations de génocide et de nettoyage ethnique planent sur son rôle au sein du gouvernement éthiopien.

Des liens controversés avec le T.P.L.F. ressurgissent même après son élection à la tête de l’O.M.S. 

De récentes accusations selon lesquelles il aurait, dans le cadre de ses fonctions actuelles, soutenu ce groupe terroriste en leur facilitant l’acquisition d’armes ne ralentissent pas son ascension.

Des rapports d'Amnesty International et de Human Rights Watch suggèrent que Tedros a été impliqué dans ces violences et crimes contre l'humanité

En conclusion, notre dossier expose la question cruciale : pouvons-nous permettre à un individu avec un tel passé d’obtenir des pouvoirs étendus à l’échelle mondiale? 

Compte rendu première partie du document de kla.tv: “Le dossier Tedros – Le chef de l’OMS va-t-il devenir l’homme le plus puissant …?

Rédigé avec Chat GPT

>> voir film complet

Extrait de la vidéo kla.tv: “Le dossier Tedros – Le chef de l’OMS va-t-il devenir l’homme le plus puissant …?>> voir film en entier

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Ressources supplémentaires

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