Bonjour. Je tenais à vous faire part d’un témoignage, reçu hier, à la manif de Nîmes.
Le groupe s’arrête un moment, je m’assieds à côté d’une dame d’une soixantaine d’années et on commence à parler. Après quelques minutes elle me raconte ceci: son mari est décédé, le 30 mai 21, trois semaines après la seconde injection expérimentale. Il a eu une chute de tension extraordinaire, est tombé et ne s’est plus relevé.
Je lui demande si ça a été déclaré en pharmacovigilance, elle me répond que non, les médecins ont dit qu’il n’y avait pas de lien.
Je lui demande alors s’il avait déjà eu une réaction lors de la première injection et elle me dit que oui, il avait déjà fait une forte chute de tension, observée par un médecin.
Je demande alors si le médecin n’a pas fait le lien entre ces deux phénomènes identiques, après chacune des injections. Elle me dit: « Ce n’était pas le même médecin. La première fois, c’était notre médecin traitant et à la seconde, c’étaient les secours d’urgences ».
Voilà, il est mort dans ses bras, par terre, sans qu’on puisse rien y faire ET ça n’a pas été déclaré!
Et, enfin, je tiens à dire qu’à chaque fois que je demande à une personne, qui a eu des effets secondaires, si cela a été signalé, on me répond que non. A CHAQUE FOIS.