Marie-Eve Vincent

Bonjour,

Je suis une femme de 35 ans qui vient du Québec qui a une assez bonne santé outre le syndrome du côlon irritable et des allergies au printemps.

J’ai eu ma première injection Pfizer le (5 juin) entre le 5 juin et les alentours du 17-18 juin je ressentais in and out, de la fatigue, des frissons, de la fièvre, courbatures, toux, une petite pression au chest etc. Le 17-18 les choses ont commencés à s’intensifier de manière importantes. Des grosses douleurs et de la pression au chest comme si une personne était assise sur moi, difficultés respiratoires assez importrantes, des pics de douleur au haut du corps au niveau du corps et poumons. Je devais forcer à ouvrir mon chest au maximum et étirant les bras le plus loin possible derrière moi pour ouvrir et me donner le maximum de chance d’aller chercher le plus d’air possible. Je devais également tousser pour aller chercher mon air le matin en toussant assez fort et avec profondeur, les sécrétions sur mes poumons décollaient un peu (jaune-verdâtres). Le besoin de faire des siestes se multiplient. Tout ça arrive au repos comme quand je suis active. Le 23-24 juin, ça en devient épeurant je dois étirer mes bras vers l’arrière presque à chaque heure pour chercher mon air. Je rentre à l’urgence. J’attends vraiment longtemps avant de voir un médecin. Je me badigeonne plusieurs fois d’huile essentielles de ravintsara/ citron et eucalyptus radiata qui m’aide à tenir durant les longues heures d’attente. Dès que je le vois, il me fait passer une batterie de tests, le médecin que j’ai vécu était assez humain. Je pense que dans ma vie ça été le plus de tests que j’ai passé en une seule consultation.

Au début, je pensais vraiment que j’avais la COVID 19. En fait, c’est même moi qui a proposé de passer le test tant qu’à être surplace. Le test revient NÉGATIF. Finalement, après le scan, les tests au coeur, les prises de sang etc. Il me revient et change de visage il me dit de ne pas paniquer c’est pas bon mais pas non plus trop grave PÉRICARDITE (coeur) et PLEURITE aux poumons. On me donne du Naproxen et du Dexilant 60mg. Je prends le dexilant et 1/3 de ma prescription 1 capsule par jour seulement au lieu de deux et pas à tous les jours et je me tape plustard un ulcère à l’estomac avec des brûlures et des crampes à s’en plier en position foetale.

Le pire bout a été entre 17-18 juin et vers le 10 juillet. Je toussais pronfondément jusqu’à m’en donner mal au coeur avec sécrétions quelques fois par jour après cette période, mais plus les jours avançaient plus ça diminuait un peu chaque jour. Les pics de douleurs minimes et presque disparus, mais la pression au chest présente étant moins pire de jour en jour mais encore présente.

Le 1er août vers les 19h00 les pics de douleur intenses, la grosse pression au chest et la difficulté respiratoire revient de plein fouet. J’étais avec deux voisines dehors à discuter. Elles ont vu que que ça n’allait pas et étaient un peu paniquées, mais je leur ai dit que ça allait passer. Je suis retourné chez moi, je me suis badigeonnée d’huiles essentielles de ravintsara/citron/eucalyptus radiata à plusieurs reprises durant la nuit (un bon 5-6 fois). J’ai bu beaucoup d’eau. J’ai sué à en changer mon chandail trempé 2 fois durant la nuit, mais le lendemain je me sentais vraiment mieux. Depuis j’ai toussoté quelque fois un peu mais ça allait assez bien. il y a deux jours, j’ai senti quelques douleurs dans le chest mais rien comparable à ce que j’ai vécu les semaines précédentes. Le pneumologue que j’ai vu la semaine dernière m’a dit que si je n’ai plus de symptôme que c’est bon signe et que si ça revient de le revoir.

Sinon mon bilan sanguin du mois de juillet est pas super bon, j’ai plusieurs problèmes dans mon sang mais mon médecin de famille que j’ai vu 2 semaines avant ne m’a rien dit, mais il se peut que ce ne soit pas due à ça non plus. On parle ici d’anémie surtout.